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Channel: Commentaires sur : Alzheimer, Parkinson…à qui profite l’explosion des maladies neurologiques ?
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Par : Michel

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Très intéressant ?... Mais surtout surprenant  :shock: : j'étais en effet persuadé d'avoir définitivement perdu ce message tout à l'heure, ayant commis la maladresse de le taper directement sur le site sans l'avoir sauvegardé par ailleurs. :reallypissed: <em>(Le truc à ne <strong>jamais</strong> faire quand on pond un com. un peu consistant... sauf s'il vous vient une envie furieuse de vous arracher les cheveux !...)</em> Une fausse manip' et pfuit ! disparu corps et bien. Du coup, je me suis retapé la totale plus ou moins de mémoire. De plus, on a pu observer que ça s'est évidemment terminé en queue de poisson : donc, pardon les moutons pour les éventuelles répétitions... et voici la <em>(nouvelle)</em> version <strong>intégrale</strong> : _______________________ <!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 <![endif]--> <strong><em>''À</em></strong><strong><em> qui profite l’explosion des maladies neurologiques ?</em></strong><strong><em>''</em></strong> De préférence à ceux qui allument la mèche, non ? De fait, tout nous est dit ici. Et si ''les causes sont parfaitement identifiées'', on pourra juste regretter que la formulation se fasse un peu timide sur les conséquences. ''Toutes les données'' sont donc ''démontrées scientifiquement, ce ne sont pas des hypothèses''. Que ''mercure, plomb, cadmium, phtalates, pesticides et solvants fassent partie de cette farandole'', ce n’est une surprise pour personne. Mais cela vaut sans doute mieux en le disant, et en le rappelant. Maintenant, ils serait dommage que toutes ces cochonneries nous distraient et contribuent à noyer le poisson. Parce qu’il y a tout de même la question suivante, qui survient : <strong>''</strong><strong>Un quart des notices affichent des effets secondaires neurotoxiques : les médicaments sont-ils aussi en cause ?</strong><strong>'' </strong>Question qui, à son tour, en suscite une autre… jusqu’à faire sourire au sujet de ce <strong>''</strong><strong>aussi</strong><strong>''</strong>. en effet, chez les spécialistes indépendants d’esprit <em>(et détachés de tout <a href="http://psychotrope.canalblog.com/archives/big_pharmas_big_money/index.html" rel="nofollow">intérêt mercantile</a>)</em> soucieux de véritables démonstrations scientifiques –c’est-à-dire ne hissant pas de pures hypothèses au rang de ''démonstrations scientifiques''© priées d’être indiscutables-, on sait parfaitement que ce n’est pas <strong>un quart</strong> des médicaments dits allopathiques <em>(par opposition aux homéopathiques)</em> qui comportent des effets secondaires potentiels, mais la <strong>totalité</strong>. Simplement, cela reste des médicaments dans la mesure où, sur la balance, les effets bénéfiques l’emportent sur les éventuels dommages collatéraux. Bref, afficher sur un quart des notices des effets secondaires, c’est comme montrer la partie émergée de l’iceberg. C’est encore pire lorsque ces <strong>effets</strong> sont dits <strong>neurotoxiques</strong> parce que traitant précisément des <strong>maladies</strong> dites <strong>neurologiques</strong> : ce qui sous-entend que l’on ''sait'' démontrer scientifiquement des maladies de ce type avec autant d’assurance que s’il s’agissait du système digestif ou du système sanguin. Or, c’est loin d’être le cas : pour l’heure, le système neurovégétatif en est à ses balbutiements par rapport au reste… à des <strong>hypothèses</strong>. Pour ce qui est de la démonstration scientifique, prière de se référer –par contraste- au sujet même de cette note : les <strong>maladies neurologiques</strong>. ''Les autorités […] répètent que ces maladies n’ont pas de causes connues'' ? Ben voyons : sûr que l’autruche se fourrant la tête dans le sable ne risque pas de voir la moindre ''cause connue'' ! ''Même des médicaments contre les affections neurologiques entraînent d’autres désordres neurologiques''. Ici encore, le propos est un rien timide : il est cependant assez révélateur… et plutôt euphémique avec ce ''<strong>même</strong>''. On y apprend cependant <em>(pour qui pouvait encore l’ignorer)</em> que les ''médicaments contre les affections neurologiques entraînent'' des ''désordres neurologiques'' [<a href="http://benzodiazepines.wordpress.com/" rel="nofollow">1</a>][<a href="http://antidepresseurs.canalblog.com/" rel="nofollow">2</a>][<a href="http://www.mensongepsy.com/fr/?page_id=188" rel="nofollow">3</a>] : ''<strong>d’autres</strong>'' dans le texte. Ce qui présuppose des ''désordres neurologiques'' premiers. Là-dessus, qu’observe-t-on dans la vie courante ? D’abord, qu’entend-on exactement par ''affections neurologiques'' ? Bien malin qui ne va pas les confondre allègrement avec ces ''<a href="../../../06/17/vers-une-epidemie-de-maladies-mentales/*" rel="nofollow">maladies mentales</a>'' dont on connaît également l’explosion par ailleurs ! Pas grave, répondra-t-on : il existe des ''spécialistes''© de la question qui savent nous opérer la distinction aux p’tits oignons. Oui… sauf que 80 % des prescripteurs de ces ''médicaments contre les affections neurologiques'' sont des <strong>généralistes</strong> : pas des ''spécialistes''©. <em>(ceci en étant encore sympa : c’est-à-dire en imaginant candidement que les ''spécialistes''© sont <strong>réellement</strong> des spécialistes : connaissant leur affaire aussi bien que le système oculaire n’a pas de secret pour un ophtalmo confirmé…)</em> Il semble que le minimum -avant de se faire prescrire quoi que ce soit- serait de subir un <em>check up</em> minimal, non ? Autrement dit : un examen scientifique et <strong>clinique</strong>. Entre nous soit dit, est-ce bien le cas de la plupart des gens qui viennent se faire prescrire de ces ''médicaments contre les affections neurologiques'' ? Depuis des décennies, on fait croire aux <a href="../../../10/14/limage-du-jour/" rel="nofollow">mougeons</a> que les notions de bien ou de mal sont dépassées : à présent, tout se réduit à de ''l’affection neurologique''. Par conséquent, hop ! il suffit d’une <a href="http://www.carevox.fr/psycho-sexo/article/la-medicalisation-des-emotions" rel="nofollow">pilule magique</a> et ça repart ! Tout cela n’est décidément en rien scientifique… pas même hypothétique : ce n’est rien d’autre que de l’alchimie d’apprentis sorciers. Une alchimie qui rapporte gros… à ceux qui se gardent bien d’avaler la pilule magique. À ce propos, si ceci concerne encore les mougeons volontaires, il convient de ne pas omettre les <strong>involontaires</strong>. <a href="http://www.liberation.fr/societe/01012348009-reperes" rel="nofollow">70 000 embastillés</a> par an <em>(officieusement pour un oui ou pour un non… mais toujours officiellement au nom de quelque ''affection neurologique'' fantasmatique)</em>, ça chiffre suffisamment pour l’inclure en ligne de compte au sujet de cette redoutable ''pandémie'' !!! Parce que les ''médicaments contre les affections neurologiques'', eux, ne font pas de différence entre les uns et les autres… notamment en ce qui concerne leurs <strong>effets secondaires neurotoxiques</strong><strong>. </strong>''Les autorités'' trouveront-elles ''toujours une explication rassurante à donner à cet égard'' ??? Parce que c’est très explicitement sous <strong>leur égide</strong> –<strong>leur</strong> cause : parfaitement connue- que ce marché minable est alimenté avec appétit. Ici plus qu’autre part, sûr qu’elles ''préfèrent regarder ailleurs''. Il sera toujours temps de dénoncer le gars qui pète les plombs : l’un ou l’autre de ces 70 000 qui, devenu <em>addict</em> sous les <strong>effets secondaires neurotoxiques</strong>, fera la une des médias après avoir fomenté un crime bien sanguinolent que personne n’aura ''prévu''. ''Quand un médicament pour Alzheimer provoque une « confusion » du patient, on met cela sur le dos de la maladie et pas du médicament. Il faut savoir que <strong>toutes</strong> les pathologies neurologiques peuvent être <strong>induites</strong> par des médicaments.''<em>(Ce n’est pas moi qui l’écrit…)</em> Ici, on va être moins sympa avec les ''spécialistes''©. En effet, supprimons-leur ce principe de fonctionnement basique qui est <strong>le leur</strong> –<strong>mettre sur le dos de la maladie et pas du médicament</strong>-, et hop ! nouveau tour de magie : il n’y a <strong>plus</strong> de ''spécialistes''©. Ne restent plus que des ''spéculateurs se réjouissant de la collusion avec l’industrie pharmaceutique'' : plutôt moins porteur, tant dans un sens commercial que dans une connotation ''sanitaire''… ''En neurologie, les jeunes praticiens apprennent pourtant que la première question à se poser avec un patient souffrant d’une pathologie neurologique est de savoir <strong>ce qu’il a pris comme médicament</strong>.'' Ce qui est le b à ba… et devrait l’être hors du champ des ''jeunes praticiens en neurologie'' : marrant comme on se pose moins spontanément la question au sujet du gars ayant fomenté son <a href="http://www.lepoint.fr/chroniqueurs-du-point/anne-jeanblanc/dangerosite-psychiatrique-il-est-possible-de-prevenir-la-violence-07-07-2011-1350460_57.php" rel="nofollow">crime sanguinolent</a>. On se contentera de se laisser asséner la réponse qui s’impose, puisque ''comme par hasard'', on apprendra au détour d’une ligne qu’il est ''psychiatriquement''© ''<a href="http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/quand-la-psychiatrie-fabrique-des-77654" rel="nofollow">suivi</a>'' : ainsi, au moyen de cette manière astucieuse <em>(bien qu’usée jusqu’à la corde)</em> de <strong>mettre sur le dos du malade </strong>lui-même<strong> et SURTOUT pas du médicament</strong>, tout ''s’explique'', n’est-ce pas… et comme d’hab’, les <a href="../../../10/21/les-vraies-causes-des-maladies-neurodegeneratives-ne-sont-pas-prises-en-compte/" rel="nofollow">vraies causes</a> peuvent aller se faire voir. ''Mais <em>(comme les autres)</em> cette question est évacuée, comme si le médicament était sanctuarisé.'' Allez : encore un peu, et nous pourrons retirer ce ''comme'' ! Parce qu’il faut que le médicament soit bel et bien sanctuarisé <em>(remarquons au passage ce terme éminemment emprunté au vocabulaire <a href="http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-secte-psychiatrique-73224" rel="nofollow">religieux</a>…)</em> pour que nul ne trouve à y redire lorsqu’il est <strong>scientifiquement démontré</strong> depuis des lustres que la balance pèse largement plus du côté des inconvénients que des avantages. Il faut qu’il soit vraiment sanctuarisé pour qu’en dépit de ces monumentales casseroles, on en soit encore à ''devoir sortir d’une approche exclusivement thérapeutique''… alors qu’on pourrait plus légitimement se demander quand on y est <strong>entré</strong> ! De l’approche politique, industrielle et fortement idéologique, oui : il suffit de se baisser pour en ramasser des seaux entiers. Mais de l’approche thérapeutique <em>(et exclusive, par dessus le marché !)</em> ! Ne seraient-ce tous les drames que cela entraîne à la chaîne, on pourrait aussi se demander si on ne serait pas en train de nous tourner une caméra cachée ? ''Il est essentiel que la Sécurité sociale et l’État, qui disposent de moyens considérables, mettent en place ce pôle d’experts indépendants. Même chose du côté des Mutuelles : elles doivent créer un pôle d’expertise qui leur permettra d’assurer une fonction de contrôle critique face aux médicaments qui ne devraient pas être autorisés et, a fortiori, qui ne devraient pas être remboursés.'' Belles intentions… et encore plus belle utopie : autant demander à tous ces braves gens de se tirer une balle dans le pied ! De plus, si on allait au bout de cette logique… il ne resterait plus qu’une infime poignée de médicaments à être autorisée ! Pauvre <strong><a href="http://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/afssaps-et-labos-ce-qu-on-ne-vous-69628" rel="nofollow">AFFSAPPS</a></strong> : elle n’aurait plus qu’à se tourner les pouces… ou pire <em>(pour elle)</em>, à être dissoute. ''Le fait le plus marquant est justement la quasi-inexistence d’actions de prévention, alors que les enjeux sanitaires sont considérables et que la plupart des causes sont connues.'' Eh bien, forts de la deuxième partie de cette phrase, la première partie est donc inexacte. Parce qu’il <strong>existe</strong> une action très efficace de <strong>prévention</strong>, qui ne coûte pas un rond à personne. Cette action consiste à <strong>refuser</strong> absolument –individuellement et collectivement- la dénomination de ''médicament''© à toute saloperie chimique ayant plus que démontré sa parfaite <strong>toxicité</strong> ; ça aussi, c’est le b à ba : à la portée d’un môme de trois ans. Peu importe que la dite saloperie soit <em>« intégrée dans les circuits de prise en charge des patients touchés »</em><em> : non seulement cela ne constitue nullement une garantie, mais cela finit à la longue par fournir la garantie inverse !</em> <em> </em> <!--[if gte mso 9]> Normal 0 21 <![endif]--> <strong>''</strong><strong>Pourquoi n’y a-t-il pas plus de procès et d’actions en justice dans ce domaine ?</strong> <strong>R. L. :</strong> Ces procès auront forcément lieu. Pour le moment, les décideurs font barrage.'' Évidemment qu’ils font barrage, les décideurs ! Toujours la balle dans le pied. En revanche, ici encore, si nous allons au bout de cette logique-là –si nous considérons avec l’auteur que ''ces procès auront forcément lieu''–, alors c’est tout bon… pour le bâtiment. Parce qu’il va falloir bâtir des prisons à tire-larigot ! Il serait sans doute plus rapide d’entourer l’hexagone d’un grillage barbelé parsemé de miradors, tant il y aurait fort à faire en matière de justice. D’ailleurs… QUI jugerait ? Des juges ? Combien en reste-t-il, assez indépendants d’esprit pour ne pas se prosterner systématiquement devant un de ces pseudo-''experts''© dont ils sont devenus <a href="http://psyche.sans.tain.over-blog.com/article-des-psys-et-des-betes-2-45100557.html" rel="nofollow"><strong>pathologiquement</strong></a> <em>addicts</em> pour quasiment chacun de leurs procès ? ''Ces procès auront forcément lieu ?'' Ce serait alors d’un surréalisme torride : comme si on demandait au pyromane de se faire pompier… ou au maquereau de faire justice à ses putes. ''<strong>Pourquoi n’y a-t-il pas plus de procès et d’actions en justice dans ce domaine ?</strong>'' Tout simplement parce qu’il n’est pas facile de se trouver en même temps des deux côtés de la barre. Tenons-nous déjà à la prévention suggérée plus haut : ce ne sera déjà pas si mal... ________________________ Pour répondre à présent à Phoenix, tout est possible en effet au sujet d'interactions pas terribles entre un médicament et un vaccin. Concernant celui-ci -dont on sait qu'il offre également matière à du débat <a href="http://vaccinh1n1.blog.mongenie.com/" rel="nofollow">ô combien brûlant</a>-, il n'y a <strong>pas une virgule à ôter </strong>par rapport à ce que j'énonce sur le médicament en général. Cf. le nouveau message ci-dessus ! <em>(dans la version intégrale, c'est mieux...</em> ;-)<em>)</em>

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